Découvrez le top 30 des pires phrases de rupture !
Version sans tact :
Désolé mais t’es vraiment trop moche.
Version tact :
Je t’aime bien, mais en copine tu vois.
Version altruiste :
Va t’en ! C’est pour ton bien !
Version hypocrite :
Je ne te mérite pas.
Version cornélienne :
Je t’aime mais je te quitte.
Version opportuniste :
Et ta soeur, elle est libre en ce moment ?
Version paradoxale :
Je pense que je fais la plus grosse connerie de ma vie, mais je te quitte.
Version professionnel :
Navré, mais vous êtes viré !
Version nostalgique :
J’aime toujours mon ex…
Version « j’enfonce bien le couteau dans la plaie » :
Je n’y arrive plus. Je ne ressens plus rien. Je ne t’aime plus. Et je n’arrive même plus à me souvenir si je t’ai vraiment aimé.
Version épicurienne :
J’ai envie de me donner une chance d’être heureux.
Version profiteur :
Je te quitte ! On le fait une dernière fois quand même ?
Version réaliste :
Tu sais, je suis faible, je ne suis qu’un homme.
Version psychologique :
Tu n’étais qu’un plan thérapeutique…
Version gastronome :
Ecoute, je t’aime bien mais tu es à ma femme idéale ce que les rillettes sont au fois gras : Un pis-aller.
Version TGV :
Ecoute, je suis désolé mais je n’arrive plus à supporter ta perte de vitesse qui s’éternise. Arrêtons-nous là si tu le veux bien. Et même si tu ne veux pas d’ailleurs. Ciao.
Version compassion… ou pas :
Non, arrête de pleurer, tu me rends les choses plus difficiles qu’elles ne le sont, et en plus tu es ridicule.
Version Aznavour :
Ca me fustige de te voir ressembler à ta mère, tous les matins un peu plus. Tu n’as plus « rien pour inspirer l’amour ».
Version politicien :
Tu es à mon cœur ce qu’a été l’URSS au développement de l’humanité.
Version humour :
Tu connais le coup du parachute ? Non ? J’te largue…
Version technologie :
Je dois libérer de la place pour le Home Cinema que je viens d’acheter !
Version sportive :
T’as déjà joué au Rugby ? Non ? Ben je te plaque.
Version pirate :
Tu sais nager ? Alors prends le large !
Version médicale :
Je viens de comprendre ce mal au coeur persistant.
Version geek :
Game Over !
Version fleur bleue :
Je ne suis pas fait pour tant de bonheur.
Version astrologie :
Je suis lion, tu es verseau, ça n’aurait jamais pu marcher entre nous !
Version Laurence Boccolini :
Vous êtes le maillon faible… Au revoir !
Version Jean-Louis Aubert :
Voilaaaaaa, c’est fini !
Version romantique :
Toutes les bonnes choses ont une fin !
Source : Topito