Ordinary Corrupt Human Love, le quatrième album du groupe Deafheaven est sorti
Le groupe Deafheaven a publié son quatrième album ce vendredi 13 juillet. Ce dernier s’intitule « Ordinary Corrupt Human Love ». Cet album sera publié sur Anti-Records. Il fait suite au succès critique du troisième album du groupe « New Bermuda » publié en 2015.
OUT NOW on @antirecords . Available to stream on all streaming platforms. Thank you for listening.
Un nouvelle album trois ans après
Deafheaven a voulu diversifié sa musique en y insufflant un chant psychédélique et en collaborant de nouveau avec Jack Shirtley du côté de la production du titre. On retrouve également des rythmes inspirés du jazz et des mélodies de piano très élaborées.
Image: Instagram @deafheavenband
Le titre « Ordinary Corrupt Human Love », à l’identique de l’album, puise son titre dans le « The End of the Affair », un roman du britannique Graham Greene et développe un romantisme voulu par le groupe tout au long de l’album.
Le premier single d'Ordinary Corrupt Human Love, “Honeycomb”, en révèle un peu plus encore sur les sensibilités littéraires de Deafheaven : Les paroles du single font référence à un autre auteur, cette fois-ci argentin, Julio Cortátar, l’auteur du roman Marelle.
Ce titre est captivant pour les amateurs de Rock, il est également accompagné d’une vidéo ou l’on voit le groupe Deafheaven en studio ou encore errer en plein San Francisco.
Retour sur les débuts
Pour rappel, le groupe a été formé à San Francisco en 2010. Le groupe est composé du chanteur George Clarke, des guitaristes Kerry McCoy et Shiv Mehra ainsi que du batteur Dan Tracy et du bassiste Stephen Clark (dernier membre à avoir rejoint le groupe).
Image: Instagram @deafheavenband
Le groupe a fait ses débuts en 2011 avec Roads to Judah avant d’exploser durant l’année 2013 avec l’album Sunbather. Leur deuxième album précédemment cité, fut considéré comme l’un des meilleurs albums de l’année par Stereogum. Leur troisième album « New Bermuda » paru en 2015 fut qualifié de « brillante collision de beauté et de désespoir » par Pitchfork.
