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Ouverture SHINE CLUB avec présence de MAGIC SYSTEM
Soirée clubbing

Ouverture SHINE CLUB avec présence de MAGIC SYSTEM

20 mars 2015
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◈◈◈◈◈OUVERTURE 2015◈◈◈◈◈
Le SHINE CLUB ouvre ses portes VENDREDI 20 MARS !!
Avec la présence Exceptionnelle de
MAGIC SYSTEM !!
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Ils seront les premiers a nous rendre visite apres leur concert au zénith de Nantes, pour le début la saison 2015 du Shine club.
entrée gratuite pour les filles avant 00h00
tarif : 10euros

SHINE CLUB
32 avenue des becs
85270 st hilaire de riez

info 0658128861 // 0678196509

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BIOGRAPHIE:

La carrière de Magic System : leurs Palmares, les Grands concerts, les Prix, les Distinctions, les Honneurs, les collaborations artistiques.

Palmares :
– 1 Disque de Platine
– 11 Disques d’Or (albums et singles)
– 1 Sonnerie d’Or (150 000 sonneries téléchargées)
– 2 « Kunde » d’Or
– 1 « Tamani » d’Or

Grands concerts :
– 8 avril 2000 : La salle LSC à Paris
– 26 septembre 2000 : Stade de Cotonou au Bénin
– 14 avril 2001 : La Zénith de Pairs
– 11 mai 2001 : Stade de Douala au Cameroun
– 30 juin 2002 : Elysée Montmartre à Paris
– 1 décembre 2002 : l’Olympia à Paris
– Février 2003 : Salle des Fêtes de Viennes en
Autriche
– Juillet 2004 : Festival de Spa en Belgique
– Aout 2004 : Festival de Winterthur en Suisse
– 25 septembre 2005 : Palais de la culture à
Abidjan en Côte d’Ivoire
– 20 décembre 2006 : Stade Municipal de
Ouagadougou au Burkina Faso
– 8 avril 2007 : Elephant & Castle à Londres
– Mai 2007 : Stade Vélodrome à Marseille
– 8 septembre 2007 : « 10 ans de Magie » au stade
Municipal de Bouaké
– 15 septembre 2007 : « 10 ans de Magie » au
complexe de yopougon à Abidjan

Plusieurs tournées dans le monde : Europe, Asie, Amérique, Australie …

Quelques Prix :
– 2000 : Meilleur groupe Africain
– 2001 : Prix de la révélation de l’année (Antilles)
– 2003 : « Kundé » du meilleur groupe Africain
(Burkina)
– 2004 : « Tamani » du meilleur groupe de la sous-
région (Mali)
– 2005 : Prix du meilleur groupe Africain remis par
Africa Diaspora Awards à Londres
– 2006 : Prix RTI Music pour « Ambassadeurs » de la
culture Ivoirienne
– 2007 : Prix Aimé Césaire du meilleur groupe
francophone
– 2008 : Nominations aux NRJ Music Awards

Distinctions :
– 2001 : Réception à l’Elysée par SEM le Président
de la République Française Jacques Chirac
– 2004 : Réception à Moroni par SEM le Président `
de la République islamique des Comores le
Colonel Azali Assousmani
– 2005 : Réception à Bamako par SEM le Président
de la République du Mali Amadou Toumani Toure
– 2007 : Réception à Abidjan par SEM le Président
de la République de Côte d’Ivoire Laurent
Gbagbo
– 2007 : Réception à Bobo-dioulasso par le
Président de le République de Faso Blaise
Compaore
– Le Magic System est aussi : Chavalier dans
l’ordre du Mérite National en 2001, Officier dans
l’ordre du Mérite Ivoirien en 2007, Ambassadeur
du HCR (Haut Commissariat des Nations Unies
pour les Réfugiers).

Discographie :
– 1997 : Papitou
– 1999 : 1er Gaou
– 2001 : Poisson d’Avril
– 2004 : Album Raïnb Fever 1 « Un Gaou à Oran »
– 2005 : Cessa Kié la vérité (petit pompier)
– 2006 : Album Raïnb Fever 2 « C Cho ca brule »
– 2007 : Ki dit mié (Taper dos)

Collaborations avec : Leslie, Mokobé, le 113, Jocelyne Labylle, Mohamed Lamine, Rain’B Fever, Feu Brenda Fassi, Alpha Blondy, Les Elephants de Côte d’Ivoir (équipe nationale de Football) et bien d’autres.

Biographie
Asalfo, Goudé, Manadja et Tino, les quatre gamins de Marcory (un quartier qui était pas vraiment le Passy-Auteuil d’Abidjan !), avaient à peine formé leur groupe, un groupe Woyo comme on dit là-bas, un groupe vocal qui assurait l’ambiance durant les matchs de foot ou les mariages, qu’ils acceptèrent l’offre appétissante d’un sponsor : s’appeler cube Maggi System.
Ah, cube Maggi ! Le sacro-saint bouillon, fond de sauce incontournable pour tout plat africain qui se respecte. Il n’y a pas de pur hasard…
En effet, quelque dix ans plus tard, on se rend compte qu’Asalfo et sa bande, rebaptisés entre temps « Magic System », sont en train de s’imposer comme les maîtres dans l’art de « balancer la sauce », de préparer des breuvages musicaux dans le juste tempo de ce début de siècle.

Leur recette ? Simple mais efficace. Préparer d’abord un lit de sons du terroir, à base essentiellement de zouglou. Non, ce n’est pas un soft drink, plutôt un alcool fort. Un courant musical né sur les campus de Côte d’Ivoire dans les années 80, un rock’n rap tropicalisé, issu des révoltes étudiantes contre le gouvernement. La révolte se fera par la suite chronique sociale, comme le dit à sa manière Asalfo : « Depuis que l’on était des « petits » à Marcory, on a mis à nu les maux de la société en y ajoutant un brin d’humour. » Saupoudrez ensuite de nuchi, une sorte de verlan, magnifique réinterprétation locale du français. Puis ajoutez, selon les besoins, quelques pincées de R’n’B’, de rap, de ragga ou de raï. Servez show ! Recette indigeste pour certains ? Pas pour tous… Quel autre artiste africain s’est aussi durablement installé au sommet des charts français ? « On n’sait jamais », duo avec Leslie (2002), « Un gaou à Oran », duo avec le 113 et Mohamed Lamine (2004), « Bouger, bouger », duo avec Mokobé (2005), « C’Chô, ça brûle », duo avec Hakil, Bilal et Big Ali (2006). Raï n’ B’, R’n’B’-harissa, zouglou-rap-merguez… Qu’importe l’appellation. En quelques singles, qui ont été autant de tubes, Magic System a concocté un genre de maffé musical au beur, une fraternisation des sons comme en raffolent les jeunes Gaulois. Ki dit Mié ?

Dix ans donc que le groupe élabore petit à petit sa potion magic. Un premier album en 1997, « Papitou » : on teste les mélanges. Un deuxième opus en 1999 : la distillation du temps a fait son œuvre. Le cocktail prend forme, d’autant qu’il est rehaussé par un poivre fort appelé « Premier Gaou ». Un titre-tsunami qui ravage la France, un méga tube comme il n’en existe qu’un par décennie, en Afrique. On parle de plus de cinq milions de CDs et cassettes écoulées de Dakar à Kinshasa ! « Poisson d’Avril » (2001) et « Cessa Kié la Vérité » (2005) : on fait bouillir la marmite.

Dernière boisson préparée par le Magic, Ki dit Mié. Même recette (on ne change pas une formule qui swingue !), simplement allégée par un recours plus marqué à l’esprit zouglou. Autrement dit, roots (l’album a été en majeure partie enregistré à Abidjan) and dance (il a été mixé à Paris).
Et, une fois de plus, nos quatre compères font appel aux « marmitons » qui savent remuer le shaker à sons. Sous la férule d’Olivier Blé, le producteur qui compte à Abidjan (Espoir 2000, Les Garagistes…), quatre titres à consommer sans modération : «Taper Dos », considérations humoristiques sur les faux amis, beat « tranquille », nappé de contretemps efficaces; « Abou (Sagacité) », chanson mid-tempo et portrait doux-amer d’un jeune qui veut « faroter », frimer, à l’image de la Jet-Set (ces dandys un peu voyous qui fondèrent le coupé-décalé, la dance-music locale) ; le nostalgique « Rêve d’enfant » ; ou encore « Sinikeneya », reprise d’une composition de Daouda, chanteur ivoirien qui eut son heure de gloire dans les années 80. Autre dynamiteur local, David Tayoro, le producteur de « Premier Gaou » qui règne sur les studios d’Abidjan, et ses trois contributions : « Louanges », un de ces chants religieux dopés au swing joyeux africain, exercices incontournables pour toute graine de star qui veut tracer sa voix à la mode Magic ; « St-Valentin », conte humoristico-zougloutique sur l’infidélité amoureuse ; et « Kampala », inspiré d’un vieux chant Avikam.

Bien entendu, il y a aussi la cerise parisienne sur ce Martini sonore. A commencer par « Ki Dit Mié », concentré de swing sous la conduite du tandem en or, Kore et Bellek (Raï n’B’ Fever, Leslie, Amine), « vieux » compagnons de route du Magic. Un seul duo sur cette galette : le jouissif « On va samizé », avec Amine, le petit prince du raï n’ B’. Autre « marmiton », Akerahim (qui a mixé pour Rohff et Leslie). Il produit ici « Africa », un vibrant « Peace & Love » adressé à l’Afrique. Pour s’achever les reins, on recommande « Zouglou Dance », réalisé par les Bionix (Cheb Mami, Matt Pokora…).

Puis, ultime chanson, la surprise du chef : « T’endors pas ». De la pure variété dans la tradition des longues envolées lyriques à la française, une incantation au destin humain mitonnée par le groupe et Elio (Diam’s, Vitaa, Faf Larage…). Bref, de quoi, une nouvelle fois, se « gâter le coin » !

Site web:
http://www.magicsystem.fr/ http://www.youtube.com/magicsystem

Shine Club (le)

Le grand bec - St hilaire de riez 85270