Les coups de coeur Solidays!
Hé oui, depuis une semaine le Woddstock parisien de la solidarité a fermé ses portes. J’eus le temps de réfléchir sur mes coups de coeur durant 3 jours!
Le Vendredi a été marqué pat la présence de Monsieur Bill Gates, venu tenir une conférence. Musicalement, j’ai été scotché par le set de Disiz sous le Dôme. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre et franchement, j’ai dansé du début à la fin du show. J’avais réellement bien accroché avec le dernier opus mais généralement j’ai toujours une petite déception par le live mais, j’avais juste un mot après la presta, c’est ‘Woooow’! Techniquement, le flow était en place, les zicos suivaient la cadence et le public ultra réactif, donc tous les éléments étaient réunis pour passer un bon moment; et ce fut le cas! Encore merci à lui, c’est MON coup de coeur de cette éditon.
Autrement, j’ai été subjugué par le talent de Yodelice. Un décor milimaliste et une superbe connivensce avec le public, sur la scène Bagatelle. Comme chaque année, M fédère le public. Même si son show est ultra rodé, les festivaliers sont toujours aussi réactifs aux classiques du chanteur. Le moment le plus drôle de ce premier jour, Shaka Ponk qui fait asseoir le public de la scène Paris pour les faire jumper dès le break fini. Je ne sais pas combien de personnes l’ont fait mais le rendu était magique. La belle Hollysiz n’a pas chômé car juste après sa magnifique prestation, elle chantait en première partie d’Indochine au Stade de France.
Samedi, malgré la pluie, le talent était au rendez-vous. En plus, du bel hommage rendu à Nelson Mandela par le spectacle Madiba, l’un des groupes rock de la nouvelle génération Stuck in The sound, tout comme Jabberwocky ou encore S-cew ont rempli la part du contrat…faire passer un bon moment aux festivaliers. Le duo de guitares manouches Rodrigo y Gabriela ont enflammé le Solidays grâce à leurs reprises plus que surprenantes, en particulier celles de Metallica.
Pour ce dernier jour, Big up à Patrice qui a fait revenir le soleil sur la scène Bagatelle grâce à sa technicité parfaite et son sens de la fête. Woodkid a présenté un show plus que parfait aussi bien sur le plan musical que visuel. Accompagné par un mini orchestre classique, il m’a donné la chair de poule. Pour Christine and the Queen, le chapiteau n’était pas assez grand pour contenir tout le public venu la contempler. FFF a fait un retour fracassant sur la scène parisienne. C’était l’un des lives les plus attendus de l’édition; et ils n’ont pas manqué à leur devoir. Skip The Use avait la lourde tâche de clôturer le festival. L’an dernier, David Guetta avait proposé un show basé sur le visuel, cette année, Skip The Use a misé sur la proximité avec le public, qualité qui leurs ait propre. Grosse énergie et un public ultra réactif…que demander de mieux ? NADA!
