La Candelaria ou l’histoire de la taqueria et du bar à cocktails
Depuis mars dernier, la Candelaria fait son petit bout de chemin, attirant les jeunes parisiens, avides se nouvelles expériences et d’une ambiance tout simplement décontractée. Infosbar est allé à la rencontre de Carina Soto Velasquez, associée et bartender du concept bar.
Au menu ? Des tacos, bien sûr mais aussi d’autres bon petits plats mexicains à savourer, à midi comme à 20h, en famille ou entre amis.
Mais là où la Candelaria créé la surprise, c’est dans l’arrière salle, dissimulée derrière une porte au fond de la taqueria. Plus grande et plus cosy, cette seconde salle peut surprendre mais en même temps, c’est le but.
Inspiré des endroits cachés, comme le Please Don’t Tell, alias PDT pour les intimes, basé à NYC (élu meilleur bar du monde en 2011), la Candelaria attire donc, depuis sa création, en mars dernier, foule de curieux mais aussi d’amateurs de cocktails.
Car si le bar ne se définit pas comme tel, me précise Carina, mais comme un simple bar, où l’on peut aussi venir boire de la bière et écouter de la musique, la Candelaria offre à ses clients des cocktails créations plutôt originaux et séduisants comme le Pisco Disco, le Velvet Beat ou encore le Russian Clobber.
Pisco (pisco péruvien), sirop d’orgeat fait maison, Galliano Authentico, Aperol, citron vert, bitter. Le cocktail est servi dans un verre à cocktail, saupoudré de paillettes alimentaires.
– RECETTE DU VELVET BEAT : cocktail à savourer l’hiver
Rhum (eldorado spicy rhum), citron vert, sucre spécial (à base de poivre asiatique), Velvet Falernum (fait maison) qui est une liqueur d’amande et de gingembre parfumé au clou de girofle.
Il y tout d’abord Carina Soto Velasquez, d’origine Colombienne, installée depuis 7 ans à Paris et qui a déjà fait ses armes à l’Experimental Cocktail Club aux côtés d’Olivier Bon et Joshua, d’origine américaine, qui se trouve être le second associé.
Aujourd’hui, le bar se compose de…