Je ne pensais pas quitter l’iPhone, mais après 10 jours avec le Galaxy Z Fold 7, voilà ce qui m’a conquis

10 jours avec le Galaxy Z Fold 7 ont bousculé mes habitudes. Pliable, productif, pas sans frictions. Pourquoi j’ai presque lâché l’iPhone.
Samsung Galaxy Z Fold 7 : le choc du format au quotidien
Le premier contact surprend. Le smartphone pliable pèse en poche, mais il rassure en main. L’écran externe suffit pour les tâches rapides. Une fois ouvert, l’écran interne devient un carnet de travail.
La pliure reste visible selon l’angle, mais on l’oublie vite en usage. Le geste d’ouverture impose un nouveau rythme. On lit plus, on renvoie moins à plus tard. La dalle large donne envie de s’y mettre tout de suite.
« En ouvrant l’écran, j’ai cessé de scroller : j’ai commencé à travailler. »
One UI trie bien le multitâche. La barre des tâches, le glisser‑déposer et les fenêtres flottantes changent le quotidien. Un stylet compatible ajoute du confort pour l’annotation. On prend des notes, on encadre, on signe, sans sortir un PC.
Multitâche et vie réelle
Dans le métro, je gère mails et calendrier côte à côte. En réunion, le mode semi-plié sert de support. Deux ou trois apps restent ouvertes sans gêne. Le Samsung Galaxy Z Fold 7 trouve vite sa place dans la routine.
Côté image, la photo est solide de jour. Le zoom tient bien pour le partage, la vidéo reste stable. En basse lumière, l’iPhone garde souvent un ton plus naturel. Le pliable gagne sur la souplesse de cadrage, avec le mode posé sur table.
- Gros plus: le grand écran qui booste le travail et la lecture
- Points de friction: poids, épaisseur, et quelques apps mal adaptées
- Public cible: profils productivité, créatifs, étudiants et voyageurs
Pourquoi quitter l’iPhone reste difficile
L’écosystème Apple retient fort. Les groupes iMessage, l’Apple Watch et la synchro iCloud tiennent en laisse. Quick Share remplace bien AirDrop, mais tout le monde n’y est pas. On jongle encore entre bulles bleues et bulles vertes.
« Ce n’est pas le matériel qui me retient chez Apple, c’est l’habitude des proches et des outils. »
La migration demande de la méthode. Il faut rapatrier photos et notes, puis revoir les mots de passe. L’eSIM se transfère, mais pas toujours en un scan. Les apps bancaires réclament des codes et font perdre du temps.
Sur le format pliable, toutes les apps ne jouent pas le jeu. Certaines laissent des bandes noires ou cassent la mise en page. Les réseaux sociaux recadrent parfois mal. La lecture de PDF, elle, brille sur la grande dalle.
Côté photo et vidéo, l’iPhone garde une constance qui rassure. Le Z Fold 7 monte haut, mais la colorimétrie diffère selon la scène. Pour un vlog rapide, l’iPhone reste simple et fiable. Sur table, le pliable reprend l’avantage.
Autonomie, chauffe et réseau
L’autonomie tient une grosse journée en usage mixte. Le multi‑fenêtre et la 5G consomment plus. La recharge va assez vite pour repartir en fin d’après‑midi. La charge sans fil reste pratique au bureau.
Le réseau 5G reste stable en ville. Le Wi‑Fi rapide soutient bien les gros fichiers. Le châssis tiédit près du bloc photo en jeu, sans alerte. Les appels sonnent clair, même en mode semi‑plié sur une table.
Faut-il passer au Samsung Galaxy Z Fold 7 ?
Pour qui vit à fond dans l’écosystème Apple, le saut reste rude. Les messages, la montre et la photo simple pèsent lourd. Mais si vous cherchez un écran pliant pour tout faire, le gain est net. Le Samsung Galaxy Z Fold 7 devient un mini‑bureau qui tient dans la main.
Créatifs et étudiants y gagnent encore plus. Prise de notes au stylet, recherche et document côte à côte. Storyboard le matin, annotation de PDF l’après‑midi. La productivité grimpe sans sortir un laptop.
En voyage, les forces du pliable sautent aux yeux. Carte et traductions cohabitent sur l’écran interne. La double prévisualisation aide à cadrer un portrait. On shoote et on trie sur place, sans galérer.
Reste le trio contrainte: poids, épaisseur et prix. Une coque ajoute encore du volume, mais protège mieux la charnière. La durabilité progresse d’année en année. On sent un cap passé, sans que tout soit réglé.