I Am Hardwell, le documentaire d’un winner!

I Am Hardwell, le documentaire d’un winner!

Jeudi 17 Octobre, à 21h, je me postais sur mes haut talons devant le Tuschinski Cinema pour la première du documentaire ‘I Am Hardwell‘. Ce Dj ne m’est pas inconnu car depuis près d’un an, nous sommes devenus amis. C’est tout naturellement que son management m’invita à la première du documentaire. J’ai convié ma sushi girl Juliette à m’accompagner à ce Red Carpet. Même si je suis une habituée de ce genre d’événements, c’est avec une certaines excitation que je m’y rendais.

Le label Revealed, Sorted Management ont mis les petits plats dans les grands, attirant même la curiosité des badauds de passage. Presse locale ou internationale, à cette heure, c’est The Place To Be. Le parterre d’invités est impressionnants car Tiësto, Armin Van Buuren, les acolytes Dannic & Dyro, Sunnery James & Ryan Marciano, W&W et j’en passe. D’après mes sources, environ 800 personnes ont été convié à cette ‘sauterie’.

Dès l’entrée dans le cinéma, des hôtesses nous proposent des coupes de champagne, like it! En même temps, qui refuserait ? Le profil d’Hardwell est affiché aux 4 coins de l’entrée. Quelques heures auparavant, durant mon interview avec Dannic, Dyro, Hardwell, ce dernier m’expliquait que chaque personne importante, qui a croisée son chemin lors ce documentaire a été invité, ça en fait du monde, dis-donc!

La salle se remplit au compte goutte, avec le french crew composé de sushi girl, David Chevalier – Prysm Radio et Ludovic Rambaud – Dj Mag France nous prîmes place au second balcon au centre de la salle de projection. 30 minutes plus tard, l’un des animateurs phare de l’EDM en Hollande prend place sur scène pour expliquer son parcours avec Hardwell. Le fameux sloggan ‘If you dream it, you can do it‘ a été dicté plusieurs fois durant la soirée, comme si ces quelques mots étaient magiques. La salle se noircit et le documentaire peut débuter.

Je vais vous épargner le résumé de ce documentaire, seulement qu’il a été tourné sur 3 ans. On aurait dit qu’Hardwell avait tout plannifié toute sa vie depuis 2003 car en cette année, invité sur un plateau télé, il dit au journaliste que 10 ans plus tard, il produira son propre concert – et ceci arriva car en début d’année, il eut le plaisir d’investir le Heineken Music Hall avec son concept I Am Hardwell.

Pendant 1h30, on suit Robbert Van De Corput autant dans vie personnelle que professionnelle. Il pose le problème de la place qu’Hardwell prend dans la vie de Robbert. L’évolution d’Hardwell est juste monumentale. Mon moment préféré et le plus émouvant fut son burn out car c’est la toute première fois qu’on voit un artiste au fond du gouffre. Enfin une part d’humilité!

Lors d’une précédente interview Robb avait esquivé la question sur la mégalomanie du nom de son concept. J’en ai eu la preuve, pendant ce documentaire, qu’il aime sa petite personne, dès fois au détriment des autres. Mais bon, peut-on réellement lui en vouloir ? Cette question, je me la pose encore à l’heure où j’écris ce papier. Si vous avez une réponse, je prends!

90 minutes sur une seule personne, je trouve ça un peu long mais ce mec a un parcours tellement rapide et passionnant que le documentaire n’est pas ‘boring’, en espérant qu’il ne nous ponde pas une partie 2 dans quelques années… En clair, pendant ce film, on a pu voir la réalisation des plus beaux rêves de gosse d’un jeune passionné de musique. Cela prouve au moins qu’il faut aller au bout des choses et qu’il ne faut pas avoir peur de travailler.

C’est décidé dans 2 ans, au cinéma Gaumont des Champs Élysées, je présenterai mon documentaire On Tour With Angie… #joke

#OnTourWithAngie