Que le Fakear soit avec vous!

Que le Fakear soit avec vous!

Après avoir enflammer le Trianon – à guichet fermé, il y a quelques semaines, le jeune producteur Fakear stoppe sa tournée avec son band pour se faire un kiff : être live au sein du décor de Star Wars dans le Sud de la Tunisie, pour le festival Les Dunes Electroniques.

Il n’a que 23 ans et une tête bien faite. Grâce à ses parents pofs de musique, il a su appréhender toutes les facettes de celle-ci depuis le Moyen-Âge. Il aime autant écouter Guillaume de Machaut que Satie où il a même écrit une sorte de Thèse sur les Gnossiennes. C’est à son tour de marquer l’histoire de la musique. Révélé en 2013 par son premier EP « Morning in Japan », cela lui a permi de se produire sur de nombreuses scènes prestigieuses notamment celle des Transmusicales de Rennes, qui fut un tournant dans sa carrière, puisque Fakear a été plus que jamais présent en 2014 sur les programmations festival telles que Les Vieilles Charrues ou Dour.

C’est avec beaucoup d’humour qu’on débuta cet interview où l’on revient dans un premier temps sur son live à Tatooine; pour un grand fan de la Trilogie Star Wars, c’est un peu une consécration. Malheureusement, le temps n’est pas avec nous, le sable se tranforme en gadoue et ce festival en aventure. Il nous raconte ses péripéties dans la Palmeraie. De plus, il fait partie des premiers artistes à ouvrir cette seconde édition des Dunes Electroniques, en nous proposant un live plutôt Chill. Découvrez tout ce qui se passe dans la tête de jeune féru de musique lorsque l’esprit Star Wars s’empare de lui…

 

Côté studio, un nouvel EP va sortir dans les semaines à venir. Il nous dévoile pouquoi il aime faire une sorte de césure entre le live qu’il présente avec le band et ses releases. Ces deux univers dévoilent à 100% la personnalité de Fakear. En Automne prochain, un album d’influence abstract Hip Hop verra le jour. Pour arriver aux 13 titres finaux, il revient sur le long chemin qu’il a parcouru. Son voyage au Japon lui a ouvert les yeux en lui montrant la voie à suivre. Son processus de composition est assez étrange, mais soit disant déjà utilisé par Paul K, il écoute uniquement sa musique pour en créer de nouvelles. En fin de seconde partie, Theo décrit Fakear, le résultat est plutôt second degré et « loin » de l’image de Fakear sur les réseaux sociaux.

 

Pour la dernière partie d’interview, il annonce un Olympia, qui aura lieu le 8 Octobre, un bel happening pour la sortie de son album qui aura lieu quelques semaines après. Un Olympia qu’il attend avec impatience car le Trianon lui a procuré de belles sensations et a envie de reconvier le public parisien à partager sa musique avec lui. Il existe une autre facette de Fakear, moins connue, celle de compositeur de BO. En effet, il a été contacté par le cinéma pour créer la musique de films français qui sortiront, on l’espère cette année…

 


crédit photo : Ben Lorph

Si vous êtes novice en matière de Fakear’ style, découvrez un petit live qui vous fera du bien, enregistré par Le Mellotron…

 

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