Une journée I Am Hardwell à l’Ushuaia

Une journée I Am Hardwell à l’Ushuaia

Hardwell a dit aurevoir à Ibiza, sa saison à l’Ushuaia avec son concept I Am Hardwell est finie. J’eus la chance de profiter d’une journée I Am Hardwell dans ce lieu fabuleux. Dès 11h30, j’investis l’Ushuaia mais côté plage pour commencer. Sur un transat avec parasol, face à la mer : la journée débutait sur les meilleurs auspices! Le soleil était également au rendez-vous. Je me mettais en condition pour interviewer et passer un peu de temps avec le Dj N°1 du Top 100 Dj Mag – Hardwell.
 

Il avait convié avec lui que des dutchies : Beauriche, Kill The Buzz & Fedde Le Grand. La soirée s’annonce bien. Dès 17h, le son résonne dans l’enceinte de l’Ushuaia, Beauriche se mis derrière les platines pour un set tout en douceur avec quelques pointes dutch. Il nous a fait goûté à certaines de ses productions sorties sur Can You Feel It comme 1986 (People Are Still Having Sex). Ensuite, c’est au tour de Kill The Buzz d’entrer en action. Ce jeune hollandais a sorti certains titres sur le label d’Hardwell – Revealed. Il fait également partie de la Breda Mafia, ce qui aide à rentrer dans le circuit et donc devient un récurrent des I Am Hardwell. Durant son set, on a pu entendre Carbon par exemple.
 

Au même instant, j’avais rendez-vous dans le ‘mythique’ studio de l’Ushuaia où se retrouve généralement tous les Djs en résidence. Cela faisait quelques mois que je n’avais pas revu Hardwell en ‘face 2 face’. J’appréhendais le moment. Dès mon entrée dans le studio, il est très chaleureux, son cameraman nous filme et Anna – sa bookeuse historique est là pour m’accueillir. On prend de nos nouvelles respectives avant de démarrer l’interview. D’ailleurs, vous pouvez l’écouter ici. Je suis restée dans le studio une bonne heure, il m’a fait écouté les prochaines releases de son label ainsi que des prod perso. De mon côté, je lui fais découvrir des producteurs français. C’est intéressant d’avoir ce genre d’échange avec Hardwell car il est à l’écoute de la nouveauté.
 

Pendant ce temps, Fedde Le Grand investit le booth de l’Ushuaia. Comme à son habitude, le show est rodé. Le hollandais est habitué à être à cette place, juste avant le résident. L’an dernier, David Guetta l’a invité de nombreuses fois pour les FMIF dans ce même lieu. Il aime jouer lorsque le soleil est sur la pente descendante, les gens sont revenus de la plage tout bronzés. C’est beau à regarder. Les lights de la scène entrent en action pour donner un côté plus festival et moins chill out à la célèbre pool party. Dans sa summer tracklist on y trouve Twisted, son dernier titre; son remix pour Michael Jackson ‘Love Never Felt So Good’; remix également pour Coldplay ‘Paradise’; un petit Daft Punk… Dans les allées de la pool, je suis tombée par hasard sur Thomas Gold, en vacances sur l’île.
 

La nuit est tombée sur Ibiza, Manny le tourmanager d’Hardwell vérifie que tout soit en place car pendant plus de 2 heures, le N°1 va retourner l’Ushuaia et il faut éviter tout couac. Hardwell attend son heure dans le studio, à ce moment précis je suis à ses côtés. On sent l’excitation et le stress de décevoir. Derrière ses airs très sûrs de lui, c’est un perfectionniste. Il vérifie son casque, USB…tout fonctionne à merveille. Le moment d’entrer en action a sonné. Dès que la porte s’ouvre, on pourrait le comparer à un torréador prêt à franchir la porte de l’arène. Anna, son équipe proche, tout le monde se trouve dans le même état d’esprit. Chaque jour, ils remercient la destiné à voir l’évolution de ce jeune DJ de Breda qui a 10 ans souhaitait être N°1. C’est chose faite. Dès qu’il passe le lobby de l’hôtel pour accéder au booth, les fans s’égosillent. L’intro démarre et l’univers I AM Hardwell prend tout son sens. Au programme, beaucoup de releases de Revealed comment Zenith de Dannic, Ravefield de Thomas Newson ou encore son titre avec Mattew Koma ‘Dare You’. Vers la fin de son set, il monta sur le booth, comme à son habitude pour remercier son public. Ensuite, un petit bain de foule s’impose, il aime le contact du public. Et pour finir, un petit kiff, un remix hardstyle de Spaceman…
 


Comme à chaque fin de set, il se blottit dans les bras de sa ‘seconde maman’ Anna. Il a toujours peur que le rêve ne s’arrête et donc profilte de chaque moment…Minuit passé et la pression redescend. On se rejoint tous dans le studio pour chiller ensemble avec toute la team Hardwell, un moment que je n’oublierai pas 🙂

On espère avoir un show de I Am Hardwell en France, mais cela n’est pas encore au programme.
 

#OnTOurWithAngie