Un homme droguait sa femme pour regarder Dirty Dancing en boucle !

Un homme a été condamné à six mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros.

Harcèlement moral 

L’homme en question se montrait très harcelant dans l’attente de son procès. Des mois de harcèlement, des milliers de SMS et de coup de téléphone à sa femme et à sa fille…

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L’homme de 51 condamné mardi par le tribunal correctionnel de Lisieux a écopé de seulement six mois de prison avec sursis et de 1500 euros d’amende par rapport à la gravité des faits. Il a également écopé d’une interdiction l’empêchant définitivement d’entrer en contact avec les deux femmes jusqu’à nouvel ordre.

Mais quand est-il des faits ? Depuis plusieurs mois, l’homme se plaignait de fortes tensions au quotidien avec son épouse, le prévenu avait pris l’habitude de lui administrer contre sa volonté des gouttes d’un médicament antihistaminique aux propriétés sédatives. Pour expliquer très simplement, ce médicament servait à bloquer une partie de l’organisme comme par exemple les nerfs de la personne.

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Pendant que sa femme était plongée dans un état second, le mari regardait en boucle son film préféré « Dirty Dancing ».

Un repos imposé

Le procureure de Lisieux explique que l’homme était de plus en plus inerte dans son domicile, dans un état de dépendance totale de son épouse. Le médicament et ses effets étaient utilisés afin d’éviter le contact et surtout ne pas faire d’effort vis-à-vis de sa femme.

Se rendant compte de la situation, sa femme a demandé immédiatement le divorce. A partir de ce moment là, le père de famille est devenu très oppressant envers les deux femmes. Un harcèlement quotidien avec notamment un chiffre surprenant ; pas moins de 9 000 textos et appels entre mi-2017 et mi-2018. Parfois, il allait même espionner les conversations à la porte du domicile de son ex-conjointe. Son record en terme de tentative de communication se porte à 155 dans la même journée. Absurde non ?

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A l’heure actuelle, le père de famille n’a pu assister à son procès car il fait l’objet d’une hospitalisation.